Né en des temps plus prudes, "Playboy" s'abrita longtemps derrière l'image du lapin, des "bunnies", hôtesses peu vêtues des clubs éponymes. Ici, en mai 1964, le photographe a symbolisé, concrétisé le rongeur pervers en façonnant le corps d'une femme à son image. Symbiose parfaite entre le concept et sa matérialisation. La typo évoque par sa forme le noeud papillon associé à l'animal-fétiche.18 juin 2007
Mon lapin...
Né en des temps plus prudes, "Playboy" s'abrita longtemps derrière l'image du lapin, des "bunnies", hôtesses peu vêtues des clubs éponymes. Ici, en mai 1964, le photographe a symbolisé, concrétisé le rongeur pervers en façonnant le corps d'une femme à son image. Symbiose parfaite entre le concept et sa matérialisation. La typo évoque par sa forme le noeud papillon associé à l'animal-fétiche.
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